La Belle Époque de l’Art nouveau. Au temps de Bonnard et Mucha
Musée d’art de Pully

L'esthétique de ce mouvement est orientée vers une production industrielle de l'art qui n'est pas sans évoquer l'injonction à l'éducation générale et le contrôle des individus, notamment par les politiques hygiénistes. Sans nier le caractère artistique de ces productions, l'exposition relève l'ambiguïté entre l'élan créateur et l'imposition d'un canon de beauté féminine, particulièrement celui de Alphonse Mucha inspiré par Sarah Bernhardt.
Retournement de l'histoire : la concordance des mouvements qui rejettent la soumission à une norme est aujourd'hui dénoncée comme une atteinte au consensus social.

Site de l'exposition
Florence Grivel pour la RTS
Elisa de Halleux pour Le Temps

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